Sujet : Le suicide | | Posté le 11-12-2004 à 18:12:12
| Bonjour, Excusez moi tous, je ne sais pas où poster... Parce que c'est un sujet un peu délicat aussi, je trouve . Voilà, je me demande quel est le rôle d'un médium lorsqu'il est confronté au suicide ou même contacté par un "suicidé". Pouvez vous me dire ce que vous en pensez? Merci par avance , Lotis |
| | Posté le 12-01-2005 à 06:24:30
| Bonjour Lotis, Et oui, si délicat que personne n'a vraiment d'avis apparemment Je pense que le suicide est un droit. Qu'il ne faut pas le voir comme un crime, mais sûrement comme une erreur. Une faiblesse. La plus importante des faiblesses je pense. Et toi Lotis? |
| | Posté le 12-01-2005 à 10:25:54
| Bonjour Licornus! Ouf, quelqu'un m'a répondu! Merci! Et ça fait longtemps que je ne t'avais pas vu ici ? Eh bien moi, je ne sais pas trop, c'est pour cette raison que je souhaitais en débattre. En tout cas, je ne le vois pas comme un crime, pas du tout. Plutôt comme un choix à certains moments ou dans des cas précis, comme une grosse erreur, un moment d'égarement aussi, un obstacle paraît sur le moment et puis on ne se sent pas assez fort pour le surmonter. Pour ma part, j'aime tellement la vie, j'y suis tellement accro que je ne réalise pas qu'on puisse passer à l'acte. Mais c'est personnel. Par contre, je voulais échanger des impressions avec des médiums à ce sujet, c'était pour m'éclaircir les idées. Parce qu'il me semblait, que dans certains cas, l'âme souffre moins que d'autres, et je voulais savoir, en gros, que penser de la souffrance de l'âme d'un suicidé? Enfin, je voulais avoir des avis, voilà. A bientôt, |
| | Posté le 12-01-2005 à 17:58:04
| Bonjour à vous, Je pense d'une part que si l'âme d'un suicidé demande une communication , c'est qu'elle en ressent le besoin ; je pense également que celle-ci souffre beaucoup au contraire. D'une part, parc qu'il prend conscience qu'il n'a failli aux épreuves qu'il a choisi lui même ; d'autre part, il est parfois contraint de rester attaché à sa dépouille durant le temps qu'il lui restait à vivre ; Quoiqu'il en soit --> il souffre forcément il doit donc errer, et peut moins évoluer dans cette état. |
| | Posté le 12-01-2005 à 19:00:39
| Bonjour et merci pour ta réponse Venus37, Juste, tu dis que l'âme d'un suicidé est attaché à sa dépouille pour le temps qu'il lui restait à vivre. Dans quels cas à ton avis est-il contraint à cela? Par ailleurs, y-a t'il à ton avis un moyen de soulager sa souffrance ou même faut il l'aider à soulager sa souffrance? Pour résumer, le sujet est vaste, et j'attends toutes tes idées, opinions etcetera.... A bientôt, j'espère, |
| | Posté le 13-01-2005 à 21:42:00
| Lotis a écrit :
Bonjour et merci pour ta réponse Venus37, Juste, tu dis que l'âme d'un suicidé est attaché à sa dépouille pour le temps qu'il lui restait à vivre. Dans quels cas à ton avis est-il contraint à cela? Par ailleurs, y-a t'il à ton avis un moyen de soulager sa souffrance ou même faut il l'aider à soulager sa souffrance? Pour résumer, le sujet est vaste, et j'attends toutes tes idées, opinions etcetera.... A bientôt, j'espère, |
Le temps peut varier, de sa façon de se repentir, et des prières qui lui sont adresser; de la tenacité qu'il met à se racheter de son acte. Mais si tu as à communiquer avec lui, il te dira ce qu'il en est, s'il est un peu évolué et qu'il se rend compte de son erreur. il est possible de le soulager justement en priant pour lui, pour qu'il puisse rejoindre la lumière, et qu'il ait la force de se tourner vers Dieu, afin de lui demander pardon de ne pas avoir réussi à mener à bien sa vie, et par la-même sa mission. En se suicidant, il a manquer à sa promesse, et il n'a plus fait confiance en Dieu, car malgré les épreuves, il y a toujours, de bonne chose qui arrivent même dans les pires tourments. Voili; n'hésite pas si tu as d autres questions |
| | Posté le 14-01-2005 à 22:20:12
| Bonjour et merci Venus37 pour ta réponse, Simplement, dans quel cas l'âme d'un suicidé est-elle obligée de rester attachée à sa dépouille pour le temps qu'il lui restait à vivre? Dans tous les cas? Ou simplement au compte-goutte, le temps que sa "conscience" guérisse? A bientôt, |
| | Posté le 16-01-2005 à 16:25:59
| Hello lotis, je ne pourrais te répondre avec précision, alors plutot que de dire des bétises, je préfère ne rien dire à ce sujet, surtout qu'une fois décédé; le temps n'est pas le même que pour nous , terrestre, alors cette réponse serait très délicate, chaque fois qu'on évoque la notion du temps avec les esprits, c'est ce qui est répondu, notre temps n'est pas le même. mais si tu as d'autres questions n'hésite pas. |
| | Posté le 17-01-2005 à 09:37:49
| Bonjour et merci pour tes réponses, Oui pour le temps, je vois ce que tu veux dire... De toute façon, c'est un sujet délicat, dans l'ensemble, déjà rien que pour les familles ou l'entourage du ou de la suicidé(e). Ils se posent beaucoup de questions. Donc, de n'importe quel façon, médium ou pas, il faut du tact et du temps pour guérir. A bientôt, |
| | Posté le 17-01-2005 à 18:38:01
| Hello Lotis, s'une manière générale, la mort en elle même est un sujet délicat. Ce qui est délicat dans ce genre précis, c'est ouvent la culpabilité que se font les proches, à se demander pourquoi a-t-il git ainsi... qu'ai-je mal fait.. j'aurais pa du lui dire ça..., j'aurais du être plus ceci ou cela... Ce qu'il devraient surtout savoir, c'est que le suicidé, qui était dans une grande souffrance pour agir ainsi, l'est encore plus à sa mort, normalement, c'est l'inverse, quand une âme est délivrée de son corps, elle plus heureuse qu'incarnée. Est ce que tu connaissais cette personne? |
| | Posté le 22-01-2005 à 08:58:38
| Bonjour, Je souhaitais juste aborder ce sujet au sens général. Pour ma part, je connais des cas de suicides et de "suicides lents" par la drogue, ou overdose et que sais-je, et bien sûr, les parents, la famille sont choqués et cherchent des réponses à leurs questions. Sans jugement cependant, ils ont besoin d'être rassurés. Quant au suicidé, mon opinion est que tout est dans la continuité: s'il souffrait tant de son vivant, eh bien, tant qu'il n'aura pas surmonté ses erreurs, il souffrira en étant désincarné. Sans parler du choc causé par une mort violente. Mais je brode, bien sûr, c'est une opinion. En revanche, on m'a parlé du fait qu'un suicidé ou un drogué à sa mort, allait errer dans le bas astral. Et il me semble que c'est une opinion catégorique. As-tu déjà été confrontée ou entendu un truc comme ça? A bientôt, |
| | Posté le 26-01-2005 à 02:10:11
| Bonjour Lotis, Ta question Loti est trè pertinente et appelle plusieurs réponses. Je dirais que se sujet est même l'un des plus sensible qui soient et je parle par expérience ( malheureusement ). On ne peut répondre à cette question qu'en considérant les deux choses séparément soit l'esprit du suicidé et soit l'entourage du suicidé Pour l'esprit : J'ai été initié par quelqu'un qui avait le don de clairevoyance et de médium. Cette personne m'a expliquée un jour qu'un médium pour les esprit était comme un phare dans la nuit. Les esprits les plus sensibles à cette lumière étaient ceux qui étaient les plus "noirs". Pour lui un esprit "noir" était un esprit qui éprouvait soit un grand ressentiment pour les vivants ( une personne morte de mort violente et qui n'avait pas compris qu'elle était morte ou qui était morte dans de très grande souffrance ) et ceux qui avait laissé une tellement grande peine derrière eux qu'ils ne pouvaient pas partir sans l'avoir effacé ( les suicidés ). Ces esprits sont dangereux et à manier avec une extrème prudence car dès qu'ils trouvent un médium faible ou inexpérimenté qui n'est pas capable de les renvoyer d'où ils viennent , ceux ci peuvent vraiement lui pourir la vie et c'est un faible mot. Pour la famille et l'entourage : Le médium se DOIT de rester le plus neutre possible et ne pas essayer de répondre aux questions qui n'ont plus de sens ( si les réponses avaient été trouvé la personne ne se serait pas suicidé ). Au contraire le médium se doit d'aider la famille et l'entourage à faire son travail de deuil. Il se doit de détecter les personnes qui éprouvent le plus de ressentiment face à cet acte en les apaisant. Car plus la charge émotionnelle que le suicidé laisse derrière lui est forte moins son esprit aura de chance de trouver le repos. à bientôt |
| | Posté le 26-01-2005 à 20:47:21
| Bonjour, Pour moi quand je rencontre une Âme en peine je "l'écoute" et n'emet aucun jugement et j'essai de la libérer ou soulagé. La plupart du temps c de l'abime qu'ils ressent, bien souvent c le leurs... Il fo écoute et avoir beaucoup de respect, il fo les comprendres... Pour la famille c du cas par cas mais il fo être juste, sensible et honnête même dans les moments durs... Il fo être encore plus Humain. Voila pour mon cas personnel Amicalement. Nicolas. |
| | Posté le 29-01-2005 à 14:29:57
| Bonjour à vous tous ! J'ai lu toutes vos réponses avec attention et vous tous résumé le fond de ma pensée. Il est de un très difficile pour un médium de ne pas sombrer dans la tristesse profonde que peu ressentir une famille. Travaillant de plus dans le domaine funéraire, je peux vous dire qu'une famille en deuil et sous le choc fera tout en son pouvoir pour avoir LA réponse, qui, comme vous l'avez spécifié est impossible, car sinon cet être serait encore parmis nous. L'empathie est, à mon avis, la solution qu'il faut opter pour traiter cette famille. La déchirure et la peine laissent un parcours difficile pour ceux et cellles qui doivent surmonter l'épreuve laissé par le suicidé. Il ne faut pas ''sympathiser'' avec la famille il faut y aller d'empathie. La marge est mince entre les deux, mais peut faire toute une différence. Il faut aussi faire comprendre à ses personnes que ce n'est pas leur faute, car à mon avis, plus les gens sur terre ne voudront les laisser en paix et partir, plus ceux-ci (les esprits des victimes) seront rattachés au monde matériel et ne pourrons trouver leur voie et quitter les abîmes (si on peut choisir ce mot). Comme le disait Steve, ces esprits restent dangereux et peuvent parfois rester accrocher à ceux qui n'auront pas été en mesure de les laisser partir une fois leur travail terminé. Merci Marie-Josée ''N'est pas mort ce qui à jamais dort et au long des ères peut mourir même la mort" (Lovecraft) |
| | Posté le 07-02-2005 à 15:14:47
| D'apres certain esprits, ceux qui se sont suicidé, doivent rester "sur terre" pour le restant qui leurs restais a vivre, tout en eprouvant la souffrance qu'il eprouvait vivant ( froideur, depression, tristesse) J'ai personnellement eu une amie dont le petit ami c suicidé, quelque temps plus tard, mon compagnon ( medium lui aussi et magnetiseur) a eu un message (mais allez savoir si c'etait reellement lui) Il disait qu'il regrettais amerement ce qu'il avait fait et qu'il l'aimais, il lui disait aussi de chercher apres une bague dans un meuble ( bague qu'elle n'as jamais trouvée). Exemple encore, lors d'une seance avec un groupe spirite pour apaiser l'ames des morts (suicidé, meurtre,...) certain esprits nous on fais ressentir leurs douleurs, (et c pas des plus agreable), l'un d'entre nous alors a ressenti la douleur d'une personnes morte d'un cancer . Nous sommes encore vivant, les messages qui parviennent a nous mediums, peuvent venir de n'importe quel esprits, bon ou mauvais, heureux ou malheureux, ils nous est souvent difficile d'empecher certain esprits de venir ( sois parce que nous sommes imparfait, soit que notre dons est encore trop peu devellopé). Quant a la douleur de la mort eprouvée par les vivants, elle viens de 2 phases, 1) douleurs emotionnelles due a la perte d'un etre aimés 2) Douleurs magnetique du a l'absence et a la perte dans notre aura de l'energie de la personnes decedée ( ca prend du temps pour que cette energie parte) La mort est une etape, mais il faut y faire face! |
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